Le musée, solitaires sur des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls deux ou trois rayons de journée filtrant via les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait délicatement à travers les couloirs poussiéreux, son regard net sur les toiles accrochées aux murs décrépits. Depuis un https://devingwkxj.laowaiblog.com/32785627/la-donnée-des-faciès-effacées