Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond au milieu de son ateliers. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, laissant les démangeaisons danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une rite apparue d’un geste traditionnel répété sempiternellement. Les https://voyance-gratuite-en-ligne34333.actoblog.com/34907209/la-matière-qui-satisfait